
Van Grieken au Palais : "Surtout, ne rate pas la poignée de main avec le Roi"
La venue "historique" du président du Vlaams Belang au Palais royal était attendue par plus de journalistes qu'à l'accoutumée ce mercredi matin.
DHnet.be
Publié le 29-05-2019
La venue "historique" du président du Vlaams Belang au Palais royal était attendue par plus de journalistes qu'à l'accoutumée ce mercredi matin. "Surtout, ne rate pas la poignée de main avec le Roi", lance l'un des journalistes à son cadreur. C'est l'image que tout le monde veut capter. Et ce, au grand désespoir des quelques voisins du Palais, présents mais discrets, venus déplorer l'attention médiatique accordée à Tom Van Grieken et son parti extrémiste.
"Historique? Pathétique plutôt", lance une femme présente sur place. "C'est désolant que ce soit le Roi lui-même qui rompt le cordon sanitaire. Maintenant, il va se retrouver sur tous les plateaux de télévision et on trouvera cela normal."
Le timing, aussi, leur pose problème: "Il y avait 4.000 personnes rassemblées à Bruxelles contre l'extrême droite hier, et le lendemain, on nous annonce cette rencontre. Les gens n'ont pas eu l'occasion de s'organiser pour manifester leur mécontentement. Je respecte les institutions, mais là, ça ne va pas."
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Du côté des journalistes, l'ambiance est tout autre. Une trentaine de cadreurs, preneurs de son, photographes et reporters sont aux aguets alors que l'heure approche. "Il ne va quand même pas être en retard chez le Roi?" se demande-t-on devant la grille déjà ouverte. Et le voilà qui débarque, à pied, au loin, sur le trottoir d'en face, bordant le Parc royal. La bonne conduite aurait voulu que l'on attende sa traversée des pavés jusqu'à l'entrée. Mais voilà que deux, puis trois, puis quatre... puis toute la troupe s'élance pour capturer "l'image", pour capter LA première réaction du premier président Vlaams Belang à être reçu en audience par le souverain depuis 1936. La traversée de la large Place des Palais se fait en peloton groupé, sous une pluie de questions.
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Quelques réponses, et le président du parti d'extrême droite s'élance vers le porche. Au loin, une poignée de main que l'on distingue à peine. Le moment est passé. Comme si de rien n'était finalement. La même cohue se produit à la sortie de Tom Van Grieken. Et puis les choses se calment.
Peu après, c'est au tour de Peter Mertens, président du PTB-PVDA, de rencontrer le roi Philippe. Devant moitié moins d'objectifs.
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Matthieu Percy
Denis Ducarme (MR) : "J'appelle Di Rupo à mettre fin aux dérapages du camp socialiste et à respecter l'intelligence de l'électeur"
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LaLibre.be
Publié le 27-04-2019
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"Au nom du MR, j'appelle Elio Di Rupo à mettre fin aux dérapages du camp socialiste, à respecter l'intelligence de l'électeur et à mener une campagne propre et argumentée plutôt qu'à laisser le PS assimiler en permanence ses adversaires politiques à des nazis." A un mois des élections, les tensions se marquent et les déclarations des uns ne plaisent parfois pas aux autres. Dans cette optique, l'actuel ministre de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire Denis Ducarme a souhaité réagir, au nom du MR, à des propos récents d'Emir Kir (bourgmestre de Saint-Josse) et Jean-Pascal Labille (secrétaire général de Solidaris).
Le premier nommé avait comparé dans la semaine, sur une chaîne saoudienne, les contrôles et les descentes de police effectués à Bruxelles dans le cadre du Plan Canal aux pratiques sous l'Allemagne nazie. "Cela nous rappelle une autre période de notre histoire européenne, où les Allemands, pour connaître l'identité des Juifs, avaient commencé le fichage avant de les envoyer dans les camps de la mort", avait-il déclaré.
"Il n'a pas hésité à comparer la politique du gouvernement fédéral en matière de lutte contre le radicalisme au fichage des Juifs sous le IIIème Reich", tonne Ducarme auprès de LaLibre.be. Avant d'ajouter : "Je demande officiellement au président du parti socialiste Elio Di Rupo de faire revenir M. Kir sur les propos exprimés sur une chaîne d'information internationale.
"Ducarme reproche à Jean-Pascal Labille d'accuser le gouvernement fédéral de racisme d'Etat, ce samedi, dans les pages des éditions du groupe Sudpresse. "Après le nouveau dérapage de M. Labille et après les récentes déclarations d'Emir Kir , j'appelle à la mise en œuvre d'une campagne propre, comparant les arguments et axée sur le fond en vue de produire un débat respectant davantage l'intelligence de l'électeur", demande Denis Ducarme.
Enfin, il appelle à un changement de comportement de la part du parti d'Elio Di Rupo quant "à une répétition indigne des formules consacrées de la députée Laurette Onkelinx évoquant 'le bruit des bottes' ou à celles du ministre-président bruxellois Rudi Vervoort comparant le gouvernement fédéral au régime nazi à propos des mesures prises à l'égard des personnes condamnées pour terrorisme" pour "revenir à un débat politique qui ne voit pas le PS limiter son marketing politique à la recherche permanente du point Godwin en assimilant systématiquement ses adversaires politiques à des nazis.""Si un député du MR n'avait fait que le dixième de ce qu'a fait Emir Kir, il aurait déjà été mis à pied", conclut le ministre.
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Matthieu Percy
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54 logements en vue à la rue Ernest Laurent à Braine-l'Alleud: "Ce projet va bouleverser la vie de notre quartier"
Lalibre.be
Publié le 05-02-2020
Deux pétitions, une sur papier et une en ligne, ont été lancées et seront remises à l'urbanisme.
Mardi, nous faisions le point sur l'enquête publique concernant la construction de 51 appartements, répartis en quatre immeubles, et de trois maisons sur un terrain situé rue Ernest Laurent, à Braine-l'Alleud. Peu de réclamations ont jusqu'ici été transmises, comme l'affirmait l'échevin de l'Urbanisme Jean-Marc Wautier. Mais certains riverains s'organisent et entendent bien remettre leurs doléances avant le 10 février, date de clôture de l'enquête.
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C'est le cas de Joëlle Bostyn et d'un groupe d'une cinquantaine de riverains qui allient leurs forces. " Pas pour empêcher toute construction, affirme-t-elle , il faut être raisonnable, nous savons qu'il s'agit d'un terrain constructible. Mais nous ne sommes pas d'accord avec une telle hausse de la densité de population, qui va complètement bouleverser la vie du quartier. "
"Il y aurait une augmentation importante de la circulation, et donc des problèmes de sécurité", argumente la riveraine, pointant notamment la proximité de deux écoles et du stade Gaston Reiff. "Par ailleurs, les références pour mesurer la circulation ont été prises un seul jour, une heure le matin et une heure l'après-midi, le jour d'une grève du non-marchand. Nous nous demandons donc si cela est vraiment représentatif de la situation pour déterminer que le projet n'entraînera pas de grosses perturbations."
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Les riverains craignent pour leur qualité de vie, notamment à cause des places limitées dans les écoles et crèches du quartier. Ensemble, ils insistent d'ailleurs sur la nécessité d'une vision globale lors de la mise en place de ce type de projets dans la commune.
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"L'école Riva Bella, voisine du site du projet, a subi des problèmes d'instabilité , ajoute un autre riverain. Nous n'avons pas eu accès aux résultats des analyses du terrain, mais je ne voudrais pas que cette construction provoque des fissures à nos habitations. "
Enfin, un point de mécontentement concerne le vis-à-vis. " Les bâtiments seront plus hauts que les corniches , explique Joëlle Bostyn. Cela va entraver la luminosité et l'intimité pour les habitations alentour. "
Deux pétitions, une sur papier et une en ligne, ont été lancées. La seconde, publiée lundi, a déjà récolté plus de 300 signatures en deux jours. "Les deux seront remises officiellement à l'urbanisme et le dossier sera transmis à un avocat" , préviennent les riverains.
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Matthieu Percy
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Il enferme des malfrats dans sa cave… sans le savoir !
Non publié
14 février 2023
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C’est une intrusion par effraction qui a tourné à la farce… dont les dindons sont les malfrats.
Ce lundi soir, aux alentours de 23 heures, deux individus se sont introduits dans une habitation à Ottignies. Alerté par le bris d’une vitre, l’occupant des lieux a immédiatement appelé la police, depuis sa chambre où il se trouvait à l’étage.
Les policiers, arrivés très rapidement sur place, passent alors la maison et ses alentours au peigne fin, sans toutefois trouver trace des individus. Après avoir pris la déposition de la victime de cette intrusion, les membres des forces de l’ordre s’en vont, déçus de ne pas avoir coffré les intrus et persuadés qu’ils ne reviendraient pas de sitôt dans les parages.
L’occupant de la maison s’empresse ensuite de s’emparer de planches dans sa cave, remonte en prenant soin, par habitude, de glisser le verrou fermant la porte de cette cave, et obstrue avec les moyens du bord le trou béant laissé dans le carreau.
L’histoire aurait pu s’arrêter là.
Mais voilà que 2h30 (!) plus tard, il entend des bruits qui lui paraissent suspects. Il s’approche discrètement de la porte de la cave et tend l’oreille. De l’autre côté, à quelques centimètres à peine : des chuchotements, les bougres sont toujours là et ne tardent pas à tenter de forcer le passage ! Piégés par chance (ou par malchance selon le point de vue), ils se retrouvent enfermés avant même d’avoir les menottes aux poignets.
Il ne restait alors aux policiers, de retour peu après, qu’à cueillir les auteurs des faits.
Une chose est certaine : ni ces derniers, ni la victime n’oublieront cette nuit rocambolesque de sitôt.
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Matthieu Percy
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Le gin, un cocktail à succès
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Le Soir
Publié le 04-03-2016
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Les rapports tactiles, guides de nos relations
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Le Soir
Publié le 29-10-2015
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